Les deux heures de pratique ont commencé par les traditionnels exercices d’échauffement de notre co-pilote, Alain Fabert. Cette semaine, les apprentis voyageurs ont donné leur prénom chacun leur tour au centre du plateau puis ont marché : d’abord en silence puis en étant pressés puis en souffrant. Ils ont ensuite pris l’avion pour la destination de leur choix. Ils sont descendus de leur avion, fatigués. Ils ont découvert un sol glissant et devaient rester debout malgré la fatigue du trajet. Ils ont alors travaillé la façon de risquer de tomber sans tomber, une des clés du théâtre burlesque. En sortant de l’aéroport, le soleil de plomb rendait le sol collant. Ils sont enfin arrivés dans le désert ; là , le sable était brûlant. Au loin, ils apercevaient alors une oasis.
La deuxième heure s’est organisée en deux temps : le travail sur le poème de Raymond Queneau. Au travail de chœur de la semaine dernière, s’est ajouté le travail de la gestuelle. Une première tentative très encourageante ! Enfin, tous ont réfléchi à la façon dont on fait du théâtre, à savoir de quoi on a besoin pour venir sur le plateau. Ainsi a commencé le travail autour de notre guide du voyageur. Ce guide va se construire au fil des séances.
Et bientôt, le nom de la troupe et son logo !
